‘hauts sommets’
Avec LA TÈNE + SOURDURE(NT)
Prenez de l’altitude avec la transe alpine de la Tène et laissez-vous enivrer par les vents auvergnats et occitans soufflés par les bourrées de Sourdure pour savourer un vertige grisant.
• LA TÈNE (ch/fr)
« C’est la musique de ceux dont l’esprit s’échappe alors que leur corps est occupé par l’exécution de gestes répétitifs. C’est de la musique instrumentale de danse, répétitive et progressive. Bref, c’est de la techno ou de la house pour voyager dans l’espace-temps – l’Auvergne au Moyen-Age, par exemple. » Les Inrocks
« Imaginez un bourdon médiéval revisité par La Monte Young ou Tony Conrad: c’est une dionysie syncrétique, une célébration du tournoiement absolument fiévreuse. » Le Temps (CH)
« Entrez dans la transe. La Tène marie dans sa musique les formes en suspens de l’avant-garde (drone, électronique, jusqu’au boutisme) aux beautés brutes des musiques traditionnelles d’Europe occidentale. (….) On n’a rarement eu autant de bonheur à se perdre dans le labyrinthe de la chronologie et de la tradition. » Libé Next
FORMATION
Alexis Degrenier : vielle à roue amplifiée
D’incise : harmonium indien, électronique
Cyril Bondi : percussion
• SOURDURE(NT) (fr)
À travers les câbles, les chansons se réécrivent au gré des interprétations. Ainsi se dévoile une musique éternelle, naissante mais volontairement séculaire, qui se joue des habitudes et des superflus. Disséquée, elle prend forme entre création et collectage. Ni l’un ni l’autre. Familière mais étrange. Volontairement ambiguë donc, elle dévoile ses ritournelles en trompe l’œil, pour mieux voyager sur un fil électrique. Car depuis l’Auvergne, l’aventure Sourdure propose finalement de colmater la brèche toujours béante, ouverte à la faveur d’une hégémonie culturelle, entre les mondes savants et populaires. Sans se donner des airs de grands soirs, non, mais plutôt en révélant patiemment ce que l’expérience du quotidien offre de plus atemporel.
« À la dérive avec Sourdure c’est du patois et des pattern, des bourdons et des drones, une virée avec Varèse sous acide. C’est une marche et une démarche pure aux frontières du Cantal, de l’Allier, du Puy de Dôme. Nos sabots foulent l’électro avec les brayauds dans une grange volcanique où ça danse la bourrée. » Radio Nova
FORMATION
SOURDURE :
Ernest Bergez : voix, violon, électronique
SOURDURENT
Ernest Bergez : voix, violon, électronique
Loup Uberto : luth trois cordes basse, voix, percussions
Elisa Trebouville : banjo, voix, percussions
Jacques Puech : cabrette & voix