20/09/2016 / Cold Pumas
Cold Pumas : retour en France !
Les anguleux angliches de Cold Pumas réapparaissent à l’occasion du Freakshow Festival le 27 août pour un tour de chauffe avant la tournée motorique de rentrée du 19 au 29 octobre et un nouvel album, The Hanging Valley. En attendant la sortie de son deuxième disque, le groupe a dévoilé un premier titre « A change Of Course » accompagné d’une vidéo.
Cold Pumas « A Change Of Course »
TOURNÉE FRANCE
08 août • Gigors-et-Lozeron • Freakshow Festival w/ Pierre et Bastien, Usé, Go!Zilla, Soulfly
19 octobre • Roubaix • La Cave aux Poètes
20 octobre • Paris • La Mécanique Ondulatoire
21 octobre • Mulhouse • Le Noumatrouff
22 octobre • Besançon • Les Passagers du Zinc w/ Rev Rev Rev
23 octobre • Grenoble • House show – lieu à venir
24 octobre • Lyon • Le Sonic
25 octobre • Dijon • Festival Novosonic – Atheneum w/ The Wedding Present
26 octobre • Clermont-Ferrand • Le Raymond Bar
27 octobre • Toulouse • Le Ravelin
28 octobre • Bordeaux • I.Boat
29 octobre • Nantes • Soy Festival – Foyer haut du Lieu Unique
BIO
C’est non sans une pointe de fierté que nous vous annonçons la sortie prochaine du deuxième album de Cold Pumas, intitulé The Hanging Valley et prêt à être applaudi des deux mains dès le 17 juin 2016 . La suite tant attendue de Persistent Malaise, premier prix de la compétition 2012, est un buffet copieux qui fait la part belle – au moins 33,3% – aux ballades introspectives et chatoyantes qui sentent bon la campagne (« A Change of Course », « The Shaping of the Dream », « Murmur of the Heart »), démontrant une certaine sensibilité, mais sans impact aucun sur la récente mode de la bière artisanale. Et pour dire la vérité, les 66,6% restants du buffet ne feront pas grande différence, qu’ils soient servis sur une planche de bois vintage ou accompagnés de frites maisons dans un pot en inox et cuites en trois fois. Mais ainsi va la vie.
Ces chansons parlent principalement de découragement et de bourdon, de pleurnicheries de chômeur assumé, de la répétition des répétitions de la vie mais, aussi, de la parenthèse enchantée et créative de l’amoureux satisfait. Au risque de vous décevoir, vous ne trouverez sur ce disque ni inauguration de shop éphémère, ni coleslaw en accompagnement, ni séance de yoga, ni look de bûcheron urbain, ni la mention « élaboré de manière artisanale ». Au cours des 38 minutes qu’il dure, The Hanging Valley couvre autant de sujets périphériques que le mystérieux attrait pour les classements en tout genre, l’encombrement grandissant de la navette métro-boulot-dodo, et l’excitation contenue face à la croissance insolente et infinie du web.