Hoquets
BIO
Hoquets est la dernière signature de Crammed Discs (Staff Benda Bilili, Konono n°1, Akron/Family…).
Le trio joue avec des instruments fabriqués par leurs soins (curieusement dénommés “hoquets”, eux aussi) dans leur atelier bruxellois, au moyen de planches de bois, vieux câbles, boîtes à conserve et autres matériaux de récupération dans la tradition des artistes Congotronics (Konono N°1, Staff Benda Bilili et Kasai Allstars) .
Hoquets comporte un Français (François Schulz, artiste visuel et fondateur du groupe Vive le Rouge !, il joue du hoquet tenor), un Belge (Maxime Lê Hung, instigateur du label bruxellois Matamore, ex-membre du groupe Some Tweetlove. Il joue du hoquet basse) et un Américain (McCloud Zicmuse, fondateur du projet Le Ton Mité [K Records], collaborateur du groupe japonais Maher Shalal Hash Baz, et constructeur d’instruments bricolés depuis les années 90. Il joue du hoquet soprano).
Hoquets pratique une musique à la fois très drôle, débordant d’énergie, et pareille à aucune autre: une base inspirée de la pop indie et du punk funk, un format ‘chanson’, et l’utilisation de cet instrumentarium particulier rendent sa musique à la fois inouïe et étrangement familière.
Pour leur 1er album, intitulé « Belgotronics » (en hommage à Konono N°1 et à la série Congotronics), notre trio franco-belgo-américain a décidé de chanter les louanges de son pays natal et d’adoption : chacune des chansons est consacrée à l’une ou l’autre bizarrerie nationale ou à un grand moment de l’histoire de Belgique, comme comme la ville de Bar-le-Duc, la bataille de Waterloo, le (con)fédéralisme, le multilinguisme, les précurseurs du rap belge (Benny B ?!), l’Abbaye d’Orval et sa bière, ou encore la fameuse couque de Dinant.
« Belgotronics » a été enregistré à Bruxelles par les ingénieurs/designers sonores Frédéric Alstadt et Aymeric de Tapol. Le mix a été assuré par Marc Meliá Sobrevias (Lonely Drifter Karen), Greg Saunier (Deerhoof) et Etienne Foyer (qui a régulièrement collaboré avec Dirty Projectors et Deerhoof). Plusieurs invités font des apparitions sur l’album: Tanja Frinta et Marc Meliá Sobrevias (Lonely Drifter Karen), Naoki Otani (Maher Shalal Hash Baz) et Yann Tambour (Stranded Horse, Encre).
Ajoutons pour finir que le groupe ne tire pas son nom du réflexe respiratoire involontaire et incontrôlable, mais peut-être de la technique musicale qui consiste à alterner des voix dans une ligne mélodique, rencontrée dans les musique occidentales du Moyen Age, et dans les musiques traditionnelles (africaines ou balinaise par exemple).
LIENS
TAGS
DISCOGRAPHIE
Belgotronics
Crammed Discs2011
CD / Digital
Couque de Dinant
Matamore / Vives Eaux / Zicmuse2010
7"
Alternative Takes on Congotronics : Tradi Mods vs Rockers
Crammed Disc2010
CD
BIO
Hoquets est la dernière signature de Crammed Discs (Staff Benda Bilili, Konono n°1, Akron/Family…).
Le trio joue avec des instruments fabriqués par leurs soins (curieusement dénommés “hoquets”, eux aussi) dans leur atelier bruxellois, au moyen de planches de bois, vieux câbles, boîtes à conserve et autres matériaux de récupération dans la tradition des artistes Congotronics (Konono N°1, Staff Benda Bilili et Kasai Allstars) .
Hoquets comporte un Français (François Schulz, artiste visuel et fondateur du groupe Vive le Rouge !, il joue du hoquet tenor), un Belge (Maxime Lê Hung, instigateur du label bruxellois Matamore, ex-membre du groupe Some Tweetlove. Il joue du hoquet basse) et un Américain (McCloud Zicmuse, fondateur du projet Le Ton Mité [K Records], collaborateur du groupe japonais Maher Shalal Hash Baz, et constructeur d’instruments bricolés depuis les années 90. Il joue du hoquet soprano).
Hoquets pratique une musique à la fois très drôle, débordant d’énergie, et pareille à aucune autre: une base inspirée de la pop indie et du punk funk, un format ‘chanson’, et l’utilisation de cet instrumentarium particulier rendent sa musique à la fois inouïe et étrangement familière.
Pour leur 1er album, intitulé « Belgotronics » (en hommage à Konono N°1 et à la série Congotronics), notre trio franco-belgo-américain a décidé de chanter les louanges de son pays natal et d’adoption : chacune des chansons est consacrée à l’une ou l’autre bizarrerie nationale ou à un grand moment de l’histoire de Belgique, comme comme la ville de Bar-le-Duc, la bataille de Waterloo, le (con)fédéralisme, le multilinguisme, les précurseurs du rap belge (Benny B ?!), l’Abbaye d’Orval et sa bière, ou encore la fameuse couque de Dinant.
« Belgotronics » a été enregistré à Bruxelles par les ingénieurs/designers sonores Frédéric Alstadt et Aymeric de Tapol. Le mix a été assuré par Marc Meliá Sobrevias (Lonely Drifter Karen), Greg Saunier (Deerhoof) et Etienne Foyer (qui a régulièrement collaboré avec Dirty Projectors et Deerhoof). Plusieurs invités font des apparitions sur l’album: Tanja Frinta et Marc Meliá Sobrevias (Lonely Drifter Karen), Naoki Otani (Maher Shalal Hash Baz) et Yann Tambour (Stranded Horse, Encre).
Ajoutons pour finir que le groupe ne tire pas son nom du réflexe respiratoire involontaire et incontrôlable, mais peut-être de la technique musicale qui consiste à alterner des voix dans une ligne mélodique, rencontrée dans les musique occidentales du Moyen Age, et dans les musiques traditionnelles (africaines ou balinaise par exemple).
LIENS
DISCOGRAPHIE
Belgotronics
Crammed Discs2011
CD / Digital
Couque de Dinant
Matamore / Vives Eaux / Zicmuse2010
7"
Alternative Takes on Congotronics : Tradi Mods vs Rockers
Crammed Disc2010
CD