‘ Gay Guerilla ‘ Julius Eastman (4 pianos)
BIO
Après avoir étudié avec des compositeurs tels que Morton Feldman et Lukas Foss, tout indiquait que Julius Eastman (1940-1990) serait promis à un brillant avenir musical. Dès 1980, il se produit partout aux États-Unis et en Europe, et fait partie intégrante de la scène new-yorkaise downtown où il travaille entre autres avec Meredith Monk. Mais ses tendances autodestructrices le rattrapent inévitablement et mettent un terme à une vie de créateur hors normes. L’extraordinaire trilogie composée de Evil Nigger, Crazy Nigger et Gay Guerilla, dont les titres sont évocateurs des questions d’identité et d’insoumission qui taraudaient le compositeur, illustre de manière éloquente sa contribution au courant minimaliste américain. Aux pianos, quatre artistes représentent une génération d’interprètes hybrides aussi à l’aise dans le répertoire classique que contemporain : Melaine Dalibert, Stephane Ginsburgh, Nicolas Horvath et Wilhem Latchoumia.
FORMATION
Pianos :
Melaine Dalibert
Stephane Ginsburgh
Nicolas Horvath
Wilhem Latchoumia
Durée : 2h avec entracte
Co-production : Musica – festival Strasbourg, CCAM / Scène nationale de Vandœuvre-lès-Nancy, Opéra de Rennes, La Soufflerie – Rezé
PRESSE
Libération
«Figure oubliée du minimalisme américain, le musicien noir et gay, mort en 1990 dans le plus grand dénuement, laisse une œuvre engagée et intense qu’on commence à redécouvrir. » – Olivier Lamm
France Musique
«Compositeur, chanteur et pianiste, Julius Eastman est mort dans l’indifférence en 1990. Il faudra attendre des années avant que son oeuvre ne refasse surface, et que son histoire soit racontée. » – Aliette de Laleu
Mediapart
«Si pendant les années 70 et 80 à New York Julius Eastman est reconnu comme un artiste protéiforme, son travail n’a pas été considéré à la hauteur de ce qu’il méritait, peut-être à cause d’une personnalité complexe qui reste entourée de mystère. Depuis 2010, son œuvre est remise à jour par une nouvelle génération d’artistes. » – David Bernadas
Res Musica
« L’autre concert très attendu de la soirée est l’interprétation par les quatre pianistes Mélaine Dalibert, Stéphane Ginsburgh, Nicolas Horvath et Wilhem Latchoumia de trois œuvres majeures de Julius Eastman, musicien minimaliste et artiste maudit redécouvert il y a peu: Evil Nigger, Crazy Nigger (1979) et Gay Guerilla (1978). Le public est disposé tout autour des instruments et plongé dans une chaleureuse atmosphère lumineuse dorée, propice au lâcher-prise et à l’introspection. Dans l’excellente acoustique de la Salle de la Bourse, les musiciens réussissent le miracle de faire entendre des pianos qui, dans une fusion sonore savamment mise en place, semblent jouer des bourdons à l’archet, filtrer leurs fréquences, s’enrichir de granulations et même chanter. Un concert extatique. » – Guillaume Kosmicki
CONTACT
Booking : Amaury Cornut
Promo : Varvara Papaspanopoulou
TAGS
live Festival Musica Strasbourg 2019
Concerts passés
- DatePaysVilleSalleavec
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- 20/04/2023EspagneMadrid (ES)Festival VANG. Mùsicas en Vanguardia - Auditorium de Centro Centro infos event
- 02/10/2021FranceNancy (54)Festival Musique Action au CCAM / Scène Nationale de Vandœuvre-lès-Nancy, Salle Poirelinfos event
live Festival Musica Strasbourg 2019
BIO
Après avoir étudié avec des compositeurs tels que Morton Feldman et Lukas Foss, tout indiquait que Julius Eastman (1940-1990) serait promis à un brillant avenir musical. Dès 1980, il se produit partout aux États-Unis et en Europe, et fait partie intégrante de la scène new-yorkaise downtown où il travaille entre autres avec Meredith Monk. Mais ses tendances autodestructrices le rattrapent inévitablement et mettent un terme à une vie de créateur hors normes. L’extraordinaire trilogie composée de Evil Nigger, Crazy Nigger et Gay Guerilla, dont les titres sont évocateurs des questions d’identité et d’insoumission qui taraudaient le compositeur, illustre de manière éloquente sa contribution au courant minimaliste américain. Aux pianos, quatre artistes représentent une génération d’interprètes hybrides aussi à l’aise dans le répertoire classique que contemporain : Melaine Dalibert, Stephane Ginsburgh, Nicolas Horvath et Wilhem Latchoumia.
FORMATION
Pianos :
Melaine Dalibert
Stephane Ginsburgh
Nicolas Horvath
Wilhem Latchoumia
Durée : 2h avec entracte
Co-production : Musica – festival Strasbourg, CCAM / Scène nationale de Vandœuvre-lès-Nancy, Opéra de Rennes, La Soufflerie – Rezé
PRESSE
Libération
«Figure oubliée du minimalisme américain, le musicien noir et gay, mort en 1990 dans le plus grand dénuement, laisse une œuvre engagée et intense qu’on commence à redécouvrir. » – Olivier Lamm
France Musique
«Compositeur, chanteur et pianiste, Julius Eastman est mort dans l’indifférence en 1990. Il faudra attendre des années avant que son oeuvre ne refasse surface, et que son histoire soit racontée. » – Aliette de Laleu
Mediapart
«Si pendant les années 70 et 80 à New York Julius Eastman est reconnu comme un artiste protéiforme, son travail n’a pas été considéré à la hauteur de ce qu’il méritait, peut-être à cause d’une personnalité complexe qui reste entourée de mystère. Depuis 2010, son œuvre est remise à jour par une nouvelle génération d’artistes. » – David Bernadas
Res Musica
« L’autre concert très attendu de la soirée est l’interprétation par les quatre pianistes Mélaine Dalibert, Stéphane Ginsburgh, Nicolas Horvath et Wilhem Latchoumia de trois œuvres majeures de Julius Eastman, musicien minimaliste et artiste maudit redécouvert il y a peu: Evil Nigger, Crazy Nigger (1979) et Gay Guerilla (1978). Le public est disposé tout autour des instruments et plongé dans une chaleureuse atmosphère lumineuse dorée, propice au lâcher-prise et à l’introspection. Dans l’excellente acoustique de la Salle de la Bourse, les musiciens réussissent le miracle de faire entendre des pianos qui, dans une fusion sonore savamment mise en place, semblent jouer des bourdons à l’archet, filtrer leurs fréquences, s’enrichir de granulations et même chanter. Un concert extatique. » – Guillaume Kosmicki
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Booking : Amaury Cornut
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